Ensemble, bâtissons un monde où les droits sont respectés et où il fait bon vivre.

Activités collectives

Comme organisme, nous avons un plus grand pouvoir d’agir que des personnes seules. C’est pourquoi nous avons la responsabilité de nous assurer que les droits des personnes vulnérables sont connus et respectés.

Nous agissons dans la collectivité par la promotion et la sensibilisation, l’action proactive et l’action systémique.

Promotion et sensibilisation

Nous visons à informer le plus grand nombre de gens possible des droits et recours existants afin de multiplier les défenseurs des personnes vulnérables. Nous prenons ainsi la parole publiquement pour assurer une défense des intérêts ou favoriser des changements sociaux qui amélioreraient le respect des droits. Nous informons aussi divers groupes et organismes dans le cadre de causeries.

Action proactive

Pour les personnes ou groupes de personnes qui sont plus vulnérables et qui peuvent difficilement faire valoir leurs droits. L’action est alors menée par l’organisme de défense des droits dans le respect de la volonté des personnes.

Par exemple, nous pouvons intervenir dans des milieux problématiques où l’on veut s’assurer du respect des droits, ou encore travailler en collaboration avec des avocats de l’aide juridique.

Action systémique

Nous surveillons de très près les dossiers chauds qui ont une influence sur le respect des droits. Au besoin, nous intervenons pour remettre en question le bien-fondé ou l’application :

  • de règlements ;
  • de politiques d’un établissement ;
  • de l’organisation des services d’une région ;
  • de politiques particulières du gouvernement.


Parmi les dossiers que nous suivons, notons le traitement par électrochocs en psychiatrie, les violences systémiques faites aux femmes, l’accès au logement abordable, la couverture publique universelle de la psychothérapie et le recours à la loi P-38 (Loi sur la protection des personnes dont l’état mental présente un danger pour elles-mêmes ou pour autrui).

Nous formulons aussi des recommandations quant au développement des services de santé dans la région. Nous sommes d’avis qu’il faut développer l’ailleurs et l’autrement en santé mentale : avoir accès à des ressources alternatives, travailler sur les déterminants sociaux et voir la personne dans sa globalité.

Nous participons ainsi à diverses consultations et tables locales. Nous partageons nos réflexions (notamment sur notre blogue) et nous prenons position dans des débats pour l’avancement du respect des droits des personnes.